La Chine ne serait pas le seul pays concerné par la sélection des enfants en fonction du sexe. En Géorgie et en Arménie, le rapport entre le nombre de garçons et de filles à la naissance (sex ratio) serait anormalement élevé en faveur des premiers, ce qui résulterait de l’essor des technologies prénatales permettant aux parents de connaître à l’avance le sexe de leur enfant et de recourir à l’avortement en cas de fille.

Cette anomalie a attiré l’attention de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (Apce), dont un membre – Doris Stump – va se rendre dans les pays concernés du 14 au 17 juin en vue de la préparation d’un rapport. Lequel devrait être débattu lors de la réunion de la Commission sur l’égalité des chances pour les femmes et les hommes de l’Apce, le 9 septembre prochain à Paris.

Source :
http://www.egora.fr/
Auteur : C. H.