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Mail UNOF Février 2006


























































UNOF-MAIL /// Jeudi 02 février
2006






Ne pas faiblir !

La negociation conventionnelle
doit sembler bien rebarbative à nos confrères. Et
incomprehensible.
Ayant rempli leur contrat pour 2005, ils ne
comprendraient pas que nos partenaires se contentent de l’acquis
sans pousser plus loin la revalorisation de la medecine generale,
qu’ils clament sur tous les toits comme etant leur priorite.
Nous
l?avons dit, nous le repetons, nous voulons une revalorisation
immediate de la consultation. Notre objectif : 23 ? en 2007. Pour
tous. Pas uniquement pour les nouveaux dipl?mes avec le DES (c?est
une idee qui court dans certaines chapelles).
Les medecins de
famille, dans leur cabinet, n?apprehendent pas forcement toutes les
idees qui germent dans les esprits complexes censes nous gouverner.
L?equivalence entre les ?anciens? et les ?modernes? n?est pas
acquise. Pour l?instant, j?ai l?impression que l?UNOF et la CSMF
sont bien seules dans ce combat de la reconnaissance des acquis de
l?experience.
Une consultation equivalente pour tous les
generalistes, remuneree au niveau des autres specialites permettant
de b?tir la hierarchisation des consultations ; voil? un objectif
simple, lisible et porteur d?unite pour tous les medecins
liberaux.
Alors, au delà du simple affichage de negociations
longues, nocturnes et harassantes, il ne faut pas baisser les
bras.
Nous devons aller au bout de la discussion. L?enjeu est
tr?s important. Sortir par le haut permettra de nous maintenir dans
le contrat avec la societe, qui solvabilise le patient.
La
Convention a place le Generaliste au centre du syst?me par le
medecin traitant. La remuneration de cette fonction, trimestrielle,
va encore s?appliquer dans les prochains jours. L?augmentation de 5
% des honoraires en 2005 pour les generalistes a montre l?inter?t
d?un contrat qui permet la reconnaissance des efforts que nous avons
fait pour reussir la ma?trise medicalisee. La poursuite des avancees
necessitera de la resistance. Nous n?en manquons pas, pour le bien
de tous.

Dr Michel COMBIER, President de l?UNOF-CSMF

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La permanence de soins : le
secteur qui a le plus evolue

Rappelons-nous 2002.
Pendant la gr?ve des gardes, les medecins
se rendent compte qu?on peut ?tre un bon professionnel en dormant la
nuit. A partir de ce moment l?, alors que d?autres appelaient au
renforcement des tours de gardes, nous avons tout fait pour apporter
une reponse ? la demande de qualite de vie des confr?res ; pour en
arriver ? la situation actuelle, qui n?est pas une fin en soi; mais
dont on peut faire le bilan, sans rougir. Primum movens : ces grèves
ont permis de faire admettre le volontariat.

La regulation
remuneree a ete mise en ?uvre pour eviter le contact direct entre
l’appelant et le medecin. Une chose toute simple, si evidente, mais
combien de combats pour en arriver là ! Sa generalisation ? tout le
territoire a parfois semble mettre en retrait certains projets dejà
existants, surtout au niveau de remunerations plus evoluees que les
nationales. Toutefois, des amenagements locaux ont permis de
maintenir les acquis precedents.

Dans un premier temps,
l?astreinte est passee de zero ? 50 ? pour 12 heures. Sous notre
impulsion et grâce à l’Avenant 4 de la presente Convention,
l’astreinte s’élève maintenant à 150 € pour 12 heures. Une
augmentation de 300 %. Rappelons-nous l’Avenant 14 de l’ancienne
Convention, censee ?proteger? le generaliste : 50 ? en debut de nuit
qui tombait ? 10 ? une fois 2 actes effectues, le dimanche 50 ? pour
12 heures qui s?effondrait ? 10 ? (une somme meprisable) apr?s 2
actes? et tout ? l?avenant ? 14 !
Le samedi apr?s-midi, sur
lequel nous reviendrons, pour 8 heures, l?astreinte etait de 20 ? et
disparaissait au premier acte, ce qui voulait dire plus aucune
astreinte etant donne l?activite specifique du
samedi.

Troisi?me etape de la revalorisation de la permanence
de soins : une majoration supplementaire des tarifs des actes
lorsqu?ils sont regules de l?ordre de 20 %.
L?amelioration est
patente au point que beaucoup de confr?res ne manquent pas de nous
le dire. Confort de vie et remuneration ont ete vecus comme des
bouleversements par les medecins.
Restent bien s?r des probl?mes
le samedi apr?s-midi. Le recent programme demographie medicale du
gouvernement prevoit d?aborder cette periode.
Pour notre part,
nous pensons qu?il faut considerer, qu?? l?epoque des 35 heures, la
permanence des soins debute le vendredi soir.
La permanence de
soins doit être axee sur la qualite de vie du professionnel, tout en
permettant une reponse adaptee aux ? besoins ? medicaux (et non aux
demandes) des patients. Pour cela, la periode de la nuit profonde
doit ?tre encore mieux organisee pour eviter la mobilisation inutile
de professionnels aux journees de travail ereintantes.
Il faudra
donc majorer la remuneration de la regulation pour la nuit profonde
afin d?eviter les mobilisations inutiles d’effectueurs. Cette
regulation effectuee, par des retraites ou des remplacants, doit
?tre remuneree, m?me s?ils n?ont pas de numero Adeli.
L?astreinte
dans les zones sous medicalisees doit être encore plus incitative
afin d?emmener par le volontariat des medecins dans ces zones, et de
motiver les remplacants.

Bref, parce qu?il faut bien
conclure sur un sujet qui ne sera jamais clos, il faut que la
permanence de soins soit un secteur vivant, sans cesse adapte aux
evolutions demographiques et sociologiques. En se rappelant toujours
l?axiome de base : les medecins de famille rendent service quand ils
participent ? la permanence de soins. Ils ne cherchent pas le
plaisir de l?insomnie suivie d?une journee de travail. M?me non
derange, le sommeil n?est pas le m?me quand on se sait de garde. Il
faut donc les respecter. Et respecter le volontariat en mettant en
face les sommes suffisantes pour que les medecins soient incites.



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Demographie medicale : des mesures incitatives pour
attirer les praticiens dans les zones sous-medicalisees

 
 






Pas d?effets des acides gras omega 3 sur le risque de
cancer

Exc?s de risque coronarien chez les femmes diabetiques
: les hommes seraient-ils mieux traites ou les profils de facteurs
de risque expliquent-ils la difference ?

 
 




LES REACTIONS DE NOS
LECTEURS

Vous trouverez ci-après l’ensemble des
réactions que vous nous avez envoyées suite au Mail-UNOF du mois de
décembre dernier. Michel Combier vous y répond.

REPONSE COLLECTIVE DE MICHEL COMBIER :

Quelques messages d’encouragement d’autres plus virulents, plus
habituels, venant toujours des mêmes confrères.
Leur envie
d’avoir une revalorisation du C à 27 € est compréhensible. Moi le
premier, dans mon exercice quotidien, je suis preneur.
Nous
donner des leçons est quand même un peu facile. Surtout quand on
milite dans un syndicat qui, dans les années 90, a signé la
Convention qui fermait l’accès au secteur 2 (vite oublié dans leur
historique) et qui n’a toujours pas signé l’accord des 20 € de juin
2002.
Excusez-nous de nous engager dans une Convention qui a déjà
permis d’avoir 5 % de plus d’honoraires pour les Généralistes la
première année de son application.
Certains sont obsédés par les
élections aux Unions Professionnelles, d’autres par le désir
d’améliorer les conditions de vie et de rémunération des confrères.
Cette dernière position est la nôtre.
La permanence de soins, de
plus en plus reconnue, la rémunération du médecin traitant, sont les
premières étapes d’un contrat avec la société que nous voulons
dynamique. Tout notre appareil syndical, nos adhérents et une grande
majorité de médecins généralistes comprennent notre démarche, mais
aussi les difficultés de la dite société. Ils ne sont pas enfermés
dans leur rancœur et nous disent leur perception du souhaitable et
du possible. D’ailleurs, leur participation à la maîtrise
médicalisée est leur réponse à la Convention et à toute la
problématique sociétale.
Au contact de la vraie vie des français,
ils comprennent les difficultés mais aussi l’intérêt de la
négociation. Ils apprécient les avancées de 2005 et se rendent
compte que les 5 % d’honoraires pour les médecins généralistes ne
sont pas virtuels.
Les partenaires sont plus difficiles à faire
évoluer. En tout cas, les confrères qui crient
« feignants » du bord de la route à ceux qui montent
la côte devraient se poser des questions sur leur attitude. Ne
sont-ils pas complices de nos ennemis ? En compliquant les
choses, ils donnent des armes à l’UNCAM.
L’engagement peut être
sujet de contradiction mais dans le respect.
Ceux qui me
connaissent savent mon attachement à ces valeurs. Nos ennemis sont
ceux qui refusent de nous accorder ce que nous méritons, pas ceux
qui essayent d’améliorer la situation de la profession. Se tromper
de cible, c’est avoir d’autres buts et d’autres intérêts que la
défense de tous.

VOS REACTIONS :

Edito

1/ Tout à fait d’accord, finalement REGNAUD =
SPAETH de triste mémoire!!
Marie Merklen

2/ Eh oui à signer n’importe quoi, à engager les
médecins dans des impasses et des objectifs impossibles à tenir, on
en est arrivé là!
Personne n’ayant changé quoi que ce soit à sa
pratique ou si peu, car elle est déjà optimisée, les objectifs
étaient inatteignables.
D’ailleurs Chassang a déclaré qu’il
allait s’engager sur un nouveau milliard, pourquoi faire, on n’y
arrivera pas plus, et on se retrouvera encore plus ridiculisés par
Von Riquiqui et ses sbires.
Lier les augmentations du C, à la
diminution des dépenses, a été une erreur funeste, qui sera
sanctionnée par les urnes aux élections des ZUNIONS.
D’ailleurs
la punition annoncée sera salutaire, car les opposants à la
convention étant majoritaires il faudra bien renégocier cette infâme
convention, et ce ne sont pas les quelques euros accordés quelques
semaines avant le vote qui sauveront votre syndicat du naufrage;
tout est à jeter dans cette convention et ceux qui y ont activement
participé aussi.
Alors les négociations nocturnes débiles jusqu’à
épuisement, ne donneront rien de plus.
Retrouvez au moins votre
dignité en négociant le jour, et non pendant des heures pour pondre
des textes qui n’ont aucun sens pour nous, mais qui sont préparés
par des hordes de technocrates tout frais, changés régulièrement par
les caisses en face de 3 pauvres syndicalistes
épuisés.
Delamare

3/ lu sur TF1 ce jour 30 décembre 2005
“Comme
chaque année, le 1er janvier est l’occasion d’une revalorisation des
prestations sociales mais aussi des tarifs de nombreux services.
Mais 2006 verra aussi les débuts de la banque postale, le chèque
emploi et la prime emploi. “
trouvez les cocus

Dr Plessier

Bilan
2005


4/ Merci pour votre gros
travail , c ‘est agréable de savoir qu ‘il y a des gens dévoués .
 
Bonnes fêtes
Yves Jeanmaire

5/ J’aimerais dire à Michel Combier , et en
espérant faire partie de la majorité silencieuse , qu’après 25 ans
de médecine générale , je suis heureux de voir qu’un type sincère ,
sans arrière-pensées , intelligent et lucide  , défend
enfin  notre métier comme cela n’a jamais été fait ….et qui
plus est certainement au plus mauvais moment de l’histoire de la
protection sociale…
Dr. Philippe Pinaud

6/ Je suis triste de voir ce bilan après tous
les efforts fournis par les médecins de famille dont je fais partie.
Quelle trahison, et le mot est juste. Un petit rappel: je me suis
installé le 17 janvier 2000. A l’époque, le C était à 115 F et le CS
à 135 F (soit 20 F d’écart, 3 euros). J’ai refusé l’option référent
car les gens sont libres dans notre pays, et je ne voulais pas leur
faire signer un contrat ni devenir encore plus le  larbin d’une
caisse omnipotente contre 45 euros par patient, je ne suis pas une
prostituée de la Sécu tout de même.
Nous nous sommes battus à vos
côtés en 2002 pour le C à 20 euros et le V à 30 (et j’ai
personnellement fait grève et suis monté à Paris pour manifester).
Cette revalorisation de nos actes de base était un juste rattrapage
du coût de la vie et si les objectifs de réduction des visites,
d’augmentation de prescription des génériques etc.. étaient
atteintes, d’autres revalorisations devaient avoir lieu
“rapidement”. ! J’ai failli adherer à la CSMF à ce moment
là.
2005: les médecins de famille prescrivent beaucoup plus de
génériques, ont notablement réduit leurs visites etc.. le contrat
initial est largement honoré et en échange, on a rien vu venir sinon
des peccadilles. Je suis devenu médecin traitant obligé pour le pas
pénaliser les patients, sans  aucune contrepartie financière!!
Pour la sécu c’est tout bénef: 3 minutes pour remplir et signer la
déclaration avec les explications nécessaires pour chaque patient x
1500 patients=>4500 minutes de paperasse=300 consultations de 15
minutes=6000 euros perdus pour le médecin de famille, sans parler du
temps perdu à rédiger des bons de consultation pour le dermato, le
gastro etc à la demande des patients que l’on  connaît
bien.
Pour les jeunes médecins de famille, bon courage pour leur
installation avec des patients en grande partie fixés par leur
déclaration de médecin traitant. Visser sa plaque avec succès ! va
devenir un exercice très très difficile sans rachat de patientèle ou
d’association. Merci pour eux.
 Quels efforts ont fait 
les spécialistes entre temps: pas grand chose. Peu prescrivent des
génériques, une minorité téletransmettent. En revanche, leur
dépassements s’envolent, leur Cs de base (inclus la MCS ou le
“petit” dépassement de 7 euros autorisé) oscille entre 27 et 32
euros! L’ecart avec notre C a été multiplié par 2,5 à 4!!! Les C2 se
multiplient comme des petits pains, un vrai miracle!
Ah
j’oubliais la sécu qui s’immisce de façon de plus en plus 
outrancière dans notre exercice quotidien: entretiens confraternels
répétés, visites de leur employées avec des documents passant à la
loupe notre activité dont la présentation reste très discutable,
modification sans préavis des règles d’arrêt maladie au détriment
des malades, nouvelles feuilles de soins et CCAM grotesque (MTO,
MTN, MTR, MTH , MTD, MTU,HCS,
MD/LMD,MDD/LDD,MDE/LDE,MDI/LDI,MDN/LDN,MM/LMM et j’en passe des
meilleures), une version 1.40 de sesam vitale qui va nous laminer
entre le codage des actes, l’éclatement des flux entre Sécu et
mutuelles et autres joyeusetés administratives soigneusement cachées
(faudra-t’il 10 minutes pour faire les 2 FSE?).
L’objectif du C à
23 euros est une belle rigolade, ce ne serait que le rattrapage du
coût de la vie mais pour l’obtenir, il faudra encore baisser son
froc et subir toujours plus de contrôles de cette Sécu toujours juge
et partie. Et vous vous étonnez encore de la désertion de la filière
médecine générale depuis 2 ans?
Encore bravo pour ce superbe
bilan.
Dr Georges BONNET

PS: Et pour nous-mêmes et nos chères consoeurs de plus en plus
nombreuses, j’échangerai bien un gros baril de C à 23 euros contre
une protection sociale (maladie, maternité,accident) décente.

7/ les objectifs sont à la baisse?
Je
croyais que le but était d’ obtenir C = CS en 2006……Mais c’ est
encore loin… Je croyais que les caisses allaient devenir plus
raisonnables , (parce que nous les médecins du terrain nous l’
avons été) et ne se moqueraient plus de nous, mais c’ est là aussi
un voeux pieu… Je croyais que nous allions pouvoir bénéficier de
vrais avantages sociaux, avec diminution du temps de travail,
meilleurs prise en charge retraite, indexation des consultations sur
le cout de la vie ‘la vraie, pas celle des ministères…mes charges
augmentent, le chauffage du cabinet, les petites fournitures, la
mise aux norme sont devenues un gros poste de dépense, mais pas
d’augmentation), ouverture d’ une couverture AT et arret de travail
(ne nous dit on pas en haut lieu syndical -merci monsieur
chereque-  sécurité socialesque et ministérielle -certe, c’
était l’ ancien…mais enfin- que nous sommes payés par les
caisses).
Les médecins de bases sont de plus en plus
déçus…
Christophe

8/ Bonjour,
Je pense qu’il y a erreur quand
il est dit que la consultation du nourrisson  a été augmenté
de  25%
(2 euros est 10% 20 euros)
Amitiés.
Alain
Forcade

9/ Il doit s’agir d’une faute de frappe c’est
C=25 euros et pas 23, on sait que les syndicats ne sont pas très
fort en calcul, mais il ne sera pas possible d’y arriver avec si
peu. Ce n’est pas le pauvre CALD qui va nous tirer de la misère, ,i
le 3 euros de 2 à 6 ans, si vous aviez les chiffres exacts vous
verriez que ça n’a aucun intérêt, statistiquement les enfants sont
très peu malades pendant cette période et on pourrait donner 10
euros que ça ne changerait rien.
Non C=CS=27 euros en 2007 toute
le profession est prête pour une fois à vous suivre dans cette voie!

Delamare

10/ C’est du n’importe quoi, voila que la
revalorisation des honoraires est reportée à 2007 ( tout le monde
oubli que le bénéfice imposable des médecins généralistes a baissé
de 5,1% en  2004),il n’est rien dit sur la permanence des soins
avec des réquisitions un peu partout, rien non plus sur la surcharge
administrative, sans parler du nouveau système vitale qui ne sera
pas financé et donc à la charge des médecins.
Gilles
Méheut

11/ “Négocier, avec un objectif de 23 € en 2007,
une augmentation du C de base qui est aussi, il faut le rappeler,
l’indice des avantages sociaux du médecin.”
Quelle ambition !!

Lorsque l’on sait que le CS est effectivement par les textes
conventionnels actuellement en vigueur à 27 € en secteur 1, alors
que la médecine générale est maintenant une spécialité dont les
premiers DES vont sortir de l’université l’an prochain (et c’est
pourquoi la convergence C=CS etait fixée à 2007)…
+ 3 euro en
5 ans soit à peine le nivellement de l’inflation: on mesure déjà
comment la médecine générale va sortir de l’ornière grâce à la
CSMF-UNOF…
Et quelle ambition pour le CS en 2007 ?
Dr
Thierry Lemoine

12/ Bonjour Monsieur Combier
année 2002 : C à
20 €
année 2007 : C à 23 €
soit 15 % d’augmentation en 5
ans
donc à peu près l’inflation
une grande victoire syndicale
dont la CSMF-UNOF peut s’enorgueillir !!!
vous promettiez en 2005
: 6000 € d’augmentation soit 1,5 € par C
disiez-vous (pour cela,
il m’aurait fallu 12.000 € !!)
j’ai obtenu : 2.000 € de MNO+FPE
et 2.000 € de forfait MT, moins 20 formulaires PIRES ancienne
manière (soit 1.000 €)
augmentation réelle de 2005 : 3.000 € pour
8.700 actes, donc la moitié de ce qui avait été promis
soit 35
cents par C
Ce que nous demandons : 23 € dès le 1er janvier 2006,
et 25 € au 1er
janvier 2007
Encore Bravo Mr COMBIER
Avec
ces syndicalistes comme vous, la CNAM n’a qu’à bien se tenir
Avec
ces syndicalistes comme vous, nous n’avons plus besoins
d’ennemis
Encore merci
D’ailleurs, nous vous témoignerons de
nos remerciements aux élections URML de 2006
Soyez-en sûr
!!
Ressentiments confraternels
Gérard
Barichard

 





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