Ce lundi, 68 UPATOU étaient en grève. A l’appel du SNUHP (Syndicat national des
urgentistes de l’hospitalisation privée), les urgentistes libéraux entendaient par cette action dénoncer le fait que les gardes et astreintes de leur profession ne sont pas reconnues. Pourtant, rappelle-t-on au SNUHP, les spécialistes bénéficient désormais d’une rémunération financière de leur participation à la permanence des soins. Pourquoi ne serait-ce pas le cas pour les urgentistes ?