L’U.N.O.F., premier syndicat de médecins Généralistes, regrette l’absence d’accord à l’issue de la séance de négociations conventionnelles du 11 décembre 2002.

Les propositions présentées par la C.S.M.F., soutenues par l’U.N.O.F., devaient permettre de mettre en place un nouveau système en adaptant un maintien du service médical rendu de qualité et l’amélioration des conditions de vie et de rémunération des médecins de famille.

Malgré quelques avancées sur les axes stratégiques conventionnels, l’écart entre les Syndicats Médicaux et les Caisses, et l’absence de toute proposition chiffrée de ces dernières permettant une perspective de revalorisation, n’ont pas permis le moindre accord.

Face à cette situation, nous avons acté le constat d’échec. Sans rompre les négociations, l’U.N.O.F. se déclare toujours prête à poursuivre la recherche d’une solution pérenne dans le cadre conventionnel.

Une date a été fixée le 17 janvier 2003. De ce fait, l’Assemblée Générale Extraordinaire de l’U.N.O.F., prévue le Samedi 14 décembre 2002, est repoussée à une date ultérieure.

L’U.N.O.F. espère que la volonté de chacun permettra un accord structurant qui sortira définitivement les médecins d’un climat de crise permanent.

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