« Nos préoccupations ne sont pas nouvelles : cela fait douze ans que l’on en parle ».Georges Robinet, vice-président du Collège national gynécologique et obstétricien français (CNGOF) affirme que la profession revendique des normes depuis des années. En effet, en 1995, le CNGOF avait rencontré Philippe Douste-Blazy, alors ministre délégué à la santé. Ils avaient ensemble discuté de la sécurité périnatale.