«Refuser de soigner un patient au seul motif qu’il est bénéficiaire de la CMU [couverture maladie universelle] ou lui demander un dépassement d’honoraires est inacceptable, contraire à la déontologie médicale et à la loi», rappelle le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) dans un communiqué suite à la récente enquête du fonds de financement de la CMU et au «testing» réalisé cette semaine par le journal Aujourd’hui en France – le Parisien qui constataient le caractère encore trop fréquent de ces pratiques, notamment chez des médecins installés en secteur 2.