La majoration du C sacrifiée sur l’autel des dépenses hospitalières induites ?

700 millions d’euros de dépenses pharmaceutiques d’origine hospitalière sur la médecine de ville. Voilà le montant à retenir quand vous entendrez parler des difficultés financières de l’Assurance Maladie pour vous octroyer la reconnaissance de notre spécialité en portant le C à 23 euros.

La Ministre, lors de l’examen de la Loi de Financement de la Sécurité Sociale, avait pris l’engagement de faire la part de ce qui revenait à chacun dans l’évolution des dépenses.

Si cette parole est tenue, l’examen des derniers chiffres montre un net ralentissement de la ville, il met en exergue la sagesse des actes de médecine générale. Derrière la parole ministérielle, nous attendons les actes qui doivent en découler.

Ne nous méprenons pas. Loin de moi la critique de ces prescriptions hospitalières qui s’attaquent à des affections graves, dont coûteuses, donc nécessaires, avec une délivrance ambulatoire qui améliore la vie des patients.

Simplement, je ne demande que la prise en compte de cet état de fait et un financement à la hauteur des légitimes ambitions de notre société d’apporter une réponse efficiente aux problèmes de santé les plus graves.

Alors il faut avoir le courage de demander aux citoyens d’assumer cette part de financement et non de continuer de leur faire croire qu’on pourra régler tous les problèmes à budget constant.


Dépenses de santé : coup de frein.

Que faut-il penser de l’évolution des dépenses de santé ? Actuellement, on décrit une embellie des dépenses, attribuée un peu rapidement à la franchise de début d’année et à une période sans épidémie, comparée à l’année précédente avec une épidémie forte.

On saisit de suite le ridicule des comparaisons annuelles. Nous nous sommes toujours prononcés pour des objectifs pluriannuels qui permettent de lisser les chiffres et avoir une vision dynamique des dépenses et de vérifier l’efficacité des actions de maîtrise.

La maîtrise médicalisée, à la différence de la maîtrise comptable, a besoin de temps pour produire son effet sur les chiffres. La comparaison année sur année relève du comptable.

En l’état actuel, la CNAM, qui détient les chiffres et donc la possibilité de faire souffler le chaud ou le froid, montre un ralentissement des soins de ville, honoraires médicaux et dépenses de pharmacie.

Pour l’avenir de nos rémunérations, il vaut mieux cela que le contraire, mais pour la pérennisation des efforts il faut prendre en compte la dynamique pluriannuelle.

D’ailleurs, la CNAM parle de « tendance modérée de croissance observée depuis plusieurs mois ».

La mise en exergue de cette tendance est un des meilleurs atouts pour les prochaines négociations. Mais la non prise en compte de ses efforts peut dissuader les médecins de les poursuivre.


Note2bib : au secours … claviers fous !!!

Ça y est. Le site est en ligne. Les patients peuvent se prononcer sur leur ressenti de l’accueil fait par leur médecin à leur problème de santé. Certes, ce site affirme ne pas avoir pour but le jugement sur la qualité des soins mais le coin est dans la porte.

Demain, on peut penser que ce site permettra de désigner les bons et les mauvais médecins sur des critères plus ou moins fumeux, en sachant que souvent seuls les mécontents s’expriment.

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins s’en est ému et devrait engager une procédure contre l’aspect nominatif.

Ce qui me sidère c’est que, d’après un étude parue dans « Le Quotidien du Médecin », la moitié des médecins serait favorable à de tels sites « d’évaluation ».

Aussi peu de conscience professionnelle collective et politique m’afflige, même si tout me porte à penser que la réponse à une telle question est souvent rapide et peu réfléchie.

Après quelques messages négatifs sur le site, beaucoup rejoindront l’opposition à de telles pratiques.

L’évaluation est une affaire individuelle, organisée dans un cadre collectif avec une prise en compte de référentiels professionnels validés. On est loin de tout ça.

A contrario, ne pas avoir donné les voies et moyens à l’évaluation des pratiques professionnelles (tout en la rendant obligatoire !) est une faute de la part des tutelles, et la conséquence directe c’est la création de tels sites.

http://www.note2bib.com/


La hausse du prix du carburant entame aussi le revenu des professionnels.

Le Centre National des Professions de Santé s’est ému des problèmes liés à l’augmentation vertigineuse des carburants et au blocage serré des frais de déplacement.

Les médecins de famille sont aussi touchés, même s’ils ont bénéficié sur la visite à domicile d’augmentation régulière depuis 2002. Et même si l’exercice a évolué avec une diminution des visites dans la part de l’activité.

Il faut que dans les nouvelles rémunérations il y ait une prise en compte du coût de la pratique, qui souvent est très indépendante de l’activité stricto sensu.

Cela peut faire tout à fait partie de la réflexion sur la nomenclature clinique en intégrant les éléments extérieurs influant sur l’exercice avec une part mobile.

Voir communiqué du CNPS : http://www.cnps.fr/content/view/151/139


Le feuilleton de la permanence des soins (23217ème épisode).

Alors que certains découvrent qu’il ne suffit pas de signer un avenant pour résoudre un problème (celui de la permanence de soins) et se réveillent, nous continuons le feuilleton de la PDS et à soutenir les confrères en difficulté.

La situation est réglée dans certains départements. Dans d’autres, l’écart entre les secteurs actuels et l’objectif fixé par le Ministère est tel qu’on ne voit pas comment résoudre le problème d’un coup de baguette magique.

Avant toute mission de médiation, les Caisses d’Assurance Maladie ont eu tôt fait de couper les vivres de la régulation et des astreintes du samedi après-midi. Il semble que cette première réaction soit un peu abandonnée du fait de l’apparition d’une mission d’accompagnement sous l’autorité de l’IGAS où participeront Ordre, Ministère, Assurance Maladie et Syndicats.

Il s’agira dans cette commission d’évaluer les difficultés locales afin de permettre à la fois une réorganisation et la prise en compte des spécificités départementales.

Il semblerait que la première réunion aura lieu début avril. Nous verrons bien les résultats, et en attendant laissons en place ce qui marche. Pour préserver l’avenir et l’investissement des professionnels

Docteur Michel COMBIER, Président.


Textes parus au Journal Officiel disponibles sur le site CSMF


EN BREF :

LA CNP S’INQUIETE DE L’AVENIR DU DISPOSITIF D’EPP

La Conférence Nationale des Présidents d’URML réunie en Assemblée Générale le samedi 15 mars s’inquiète de l’avenir du dispositif d’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) et demande à la ministre de la santé de publier, dès maintenant, le décret permettant l’ouverture immédiate de la première période quinquennale d’obligation d’EPP.

Au-delà, la CNP demande que la question du financement soit traitée et que les engagements pris soient tenus afin d’éviter une EPP bradée et sous tutelle. La CNP souligne que les fonds FAQSV promis pour financer l’EPP, pour un montant de 11 millions d’Euros, n’ont jamais été débloqués et n’ont jamais, de ce fait été versés aux URML.

La CNP attire l’attention de la ministre de la santé sur l’importance de la nécessité d’agir concrètement en faveur de la qualité des soins en permettant la parution du décret sur l’EPP et en débloquant les financements associés. Cette action constituerait un signal fort à la fois en direction des médecins et des patients.

Une fois ces obstacles levés, la CNP souhaite que l’EPP soit valorisée très clairement afin que les médecins qui font l’effort de s’engager dans cette démarche puissent bénéficier d’une reconnaissance légitime.

LA 2ème CONVENTION DU CNPS OUVRE LE DEBAT SUR LES FUTURES ARS

La deuxième convention du CNPS a permis d’y voir plus clair dans le débat en germe sur la régionalisation et les futures ARS.

Parmi les éléments qui font débat, la question des champs respectifs de la gestion du risque et du pilotage du système est posée : l’Assurance Maladie doit-elle conserver sa fonction de gestion du risque, au-delà du remboursement ? L’autre grand sujet de polémique porte sur l’opportunité ou non de créer, au-dessus des ARS, une structure nationale de coordination.

Les libéraux de santé ont en tout cas affirmé leur volonté de jouer leur rôle majeur dans ces structures régionales, et réaffirmé leur volonté de ne pas être la variable d’ajustement du nouveau système. Pour cela, ils souhaitent un système conventionnel contractualisé, à deux niveaux : au niveau interprofessionnel et au niveau professionnel.

La ministre de la Santé, venue ouvrir les travaux, a réaffirmé pour sa part qu’elle n’envisageait pas de remettre en cause les conventions nationales et indiqué que le “décloisonnement” de la ville et de l’hôpital “constituait l’axe majeur de la réforme des ARS”.

La création des ARS va au contraire, renforcer la gestion du risque et non la menacer a-t-elle encore précisé avant d’annoncer l’ouverture de la phase de concertation avec l’ensemble des partenaires et des libéraux de santé en particulier.

Retrouvez les synthèses des travaux sur le site du CNPS :
http://www.cnps.fr/


FORMUNOF est partenaire du 2ème Congrès de Médecine Générale de Lyon, qui se déroulera à Lyon du 12 au 14 juin 2008.

Le thème du « premier recours au long cours » intégrera la continuité, le suivi, la prise en charge du patient et la coordination des soins. Le programme traitera de la Médecine Générale dans sa globalité au travers des champs des soins, de la formation et de la recherche.
Nous vous invitons à partager vos expériences, exposer des travaux de recherche, découvrir l’éventail des formations proposées, évaluer leur pratique et échanger avec vos confrères.

Le congrès étant organisé par structures agréées, il permettra d’acquérir des crédits de Formation Médicale Continue (Formation Médicale Continue validante : 20 crédits; 4 crédits par demi-journée)

Pour les adhérents de Formunof, les frais d’inscription sont réduits à 200 €uros (Tarif Normal : 300 €uros)

Si vous désirez plus d’information, vous pouvez vous rendre sur le site du congrès : www.congresmg.fr ou nous contacter par mail à formunof@ll-conseil.fr ou encore, nous appeler au 01 43 41 04 54.


Formations FORMUNOF : www.formunof.org – Calendrier 2008
Contact : formunof@ll-conseil.fr – Tél. 01 43 41 04 54 – Fax 01 43 41 04 59

Thèmes formation Ville Date
Conduire un projet de formation Paris Samedi 29 mars
Annoncer le diagnostic de cancer Niort Vendredi 14 et samedi 15 mars
Traiter la douleur du patient cancéreux Lyon Jeudi 24- vendredi 25 avril
Dépister et prendre en charge un épisode dépressif chez l’adulte La Rochelle Vendredi 25 et samedi 26 avril
Annoncer le diagnostic de cancer Reims Vendredi 25 & Samedi 26 Avril 2008
L’obésité de l’enfant Nîmes Samedi 26 et dimanche 27 avril 2008
Premiers gestes d’urgence Lille vendredi 16 et samedi 17 mai 2008
Stratégie pour le diabète de type 2 La Rochelle Vendredi 23 et samedi 24 mai 2008
Régulation 2 : gérer le décalage entre l’attente des appelants et la proposition faite Bordeaux Samedi 24 et dimanche 25 mai et 2008
Stratégie pour le diabète de type 2 Avignon Vendredi 30 et samedi 31 mai 2008
Annoncer le diagnostic de cancer Strasbourg vendredi 20 et samedi 21 juin 2008
Régulation libérale des appels Poitiers vendredi 13-samedi 14 juin 2008
Annoncer le diagnostic de cancer Bordeaux vendredi 13-samedi 14 juin 2008
Traiter la douleur du patient cancéreux Reims vendredi 20 et samedi 21 juin 2008
Animer une session de formation Paris Samedi 5 et dimanche 6 juillet 2008
Etre maître de stage Paris Samedi 5 et dimanche 6 juillet 2008
Régulation libérale des appels Charleville-Mézières Vendredi 12 et samedi 13 septembre
Dépister et prendre en charge un épisode dépressif chez l’adulte Reims vendredi 26 et samedi 27 septembre
Traiter la douleur du patient cancéreux Bordeaux Vendredi 26-Samedi 27 septembre 2008
Mieux connaître et prescrire une cure thermale Lyon Septembre-Octobre 2008
Stratégie pour le diabète de type 2 Marseille Octobre
Premiers Gestes d’urgence Charentes Maritimes Vendredi 3 et samedi 4 octobre
Stratégie pour le diabète de type 2 Lille Vendredi 10 et samedi 11 octobre 2008
Traiter la douleur du patient cancéreux Niort Vendredi 10 et Samedi 11 Octobre
Stratégie pour le diabète de type 2 Strasbourg Vendredi 17 et samedi 18 octobre
Régulation libérale des appels Toulouse Vendredi 24 et samedi 25 octobre 2008
Traiter la douleur du patient cancéreux Lille Vendredi 14 et samedi 15 novembre 2008
Premiers gestes d’urgence Corse Vendredi 21-samedi 22 novembre 2008

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PARTENAIRES

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L’Assureur des Médecins – 15, rue Eugène Flachat – 75017 PARIS – www.scamed.fr

LA PRIMEUR DE L’INFORMATION

Une fois encore la barre est placée haute :

4,65% net de frais de gestion (4,1385% net des prélèvements sociaux), c’est le taux 2006 qui sera accordé sur l’épargne en euros aux heureux titulaires d’un contrat RES ou d’un livret de prévoyance souscrit auprès de notre partenaire la MACSF. Les prélèvements sociaux de 11% ne sont pas prélevés sur le fonds en euros du RES multi-support.

Ceux qui ont également adhéré au contrat RES fonds de pension proposé par SCAMED-ASSUMED afin de compléter leur future retraite voient le fonds en euros être crédité d’un intérêt de 4,75% net de frais de gestion.

Scamed, assureur spécialisé en assurance pour les médecins, a toujours la bonne solution assurance à vous proposer et un conseil adapté. N’hésitez pas à les contacter au 01.55.65.10.78


Actualité fiscale en partenariat avec l’AGAPS : www.agaps.com

Analyse des revenus des médecins libéraux :

Afin d’élaborer cette analyse, nous avons utilisés les moyennes des données des médecins généralistes adhérents de l’AGAPS qui constituent, vu leur nombre, un échantillon représentatif de la population.

Moyenne 2006 Evolution 2005\2006
Chiffres d’affaire 130.921 1,10%
Excédent 76.771 +3,42%
Investissement 2.104 Tendance à la baisse
Charges sociales personnelles 14.921 +2,16%
Assurance 856 stagnation
Location de matériel 867 stagnation

Il est avant tout essentiel de souligner que le résultat net d’exploitation ou bénéfice net communiqué intègre la déduction exceptionnelle des abattements conventionnels pour l’année 2006.

Ceci explique la diminution généralisée du résultat net fiscal pour tous les praticiens du secteur 1 qui est en conséquence totalement artificielle et dont il ne faut donc pas tenir compte.

Il est beaucoup plus utile, en revanche, de se baser sur l’excédent d’exploitation (recettes moins dépenses) qui révèle une hausse générale des revenus des médecins libéraux avec quelques particularités intéressantes.

Cette hausse s’explique surtout par une croissance continue des chiffres d’affaire, associée à une stagnation, voire une diminution, des dépenses sur lesquelles les médecins libéraux conservent un certain contrôle.

Cette augmentation des excédents et ces bons chiffres s’inscrivent dans une tendance qui persiste depuis 1997 mais avec une certaine accélération depuis 2000.


Des recettes en hausse pour les généralistes :

L’augmentation du chiffre d’affaires global des médecins s’explique par plusieurs facteurs. Un facteur essentiel, venu soutenir le niveau des recettes en 2006, concerne la carence en médecin.

Malgré la possibilité donnée aux retraités de la médecine libérale de reprendre leur activité, cette carence se poursuit, se traduisant par un nombre de consultations stable, mais toujours élevé.

Ce phénomène ne devrait pas se résoudre tant que les augmentations, récentes ou à venir, de numerus clausus n’auront pas produit pleinement leurs effets.

Les réformes de l’année 2004, introduisant le parcours de soins coordonnés par le médecin traitant, ont également contribué à influer sur le montant des recettes en 2006.

En effet, la mise en place progressive de ce processus, devenu pleinement opérationnel au 1er janvier 2006, a eu des effets non négligeables sur les revenus des médecins.

Les médecins généralistes ne semblent pas pâtir de la légère baisse globale du nombre de consultation (selon les sources officielles), puisque la politique de maîtrise des dépenses de santé a été accompagnée par une revalorisation des honoraires médicaux.

Ainsi, pour les généralistes, la croissance des recettes s’explique en grande partie par l’augmentation des tarifs, notamment celle liée à la permanence des soins, certains généralistes profitent cependant d’une hausse des consultations liée aux campagnes de sensibilisation aux risques du tabac.

L’importance de la hausse du chiffre d’affaires des généralistes est cependant à relativiser, l’augmentation du bénéfice étant essentiellement lié à la maîtrise des dépenses du cabinet.


Une maîtrise des dépenses :

C’est essentiellement la stabilité, voire la diminution des dépenses, qui a contribué à une hausse des bénéfices sur la période 2005-2006.

Certaines baisses apparaissaient déjà depuis plusieurs années, comme dans le cas de la taxe professionnelle, progressivement passée de 10 à 6% sur les trois dernières années, participant donc fortement à la bonne santé des comptes.

Il est également important de constater que les dépenses sur lesquelles les médecins généralistes conservent une maîtrise ont fortement diminué ou stagnées.

Il en est ainsi des achats en fournitures ou des frais engagés pour la location de matériel et des frais de gestion.

La stabilité de postes de dépenses importants, tels que la masse salariale, a également contribué à une hausse de l’excédent d’exploitation.

Quelques éléments viennent pourtant freiner la baisse des dépenses ; il en est notamment ainsi des frais financiers et des frais de déplacements liés au prix du carburant.


L’ACMF (Automobile-Club Médical de France) répond toujours présent !

  • Dépannage/remorquage gratuit 24h/24h pour tous les véhicules immatriculés à votre nom ou à celui de votre conjoint, 365 jours par an, même devant chez vous
  • Défense juridique gratuite, au civil comme au pénal
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Nous sommes aujourd’hui tellement multi-assistés qu’en cas de problème on ne sait plus à qui s’adresser pour une réponse parfaitement adaptée: désormais, en appelant le Service d’Assistance de l’ACMF, un Conseiller vous aidera immédiatement à y voir clair afin de déclencher l’assistance la plus appropriée et la plus efficace face à votre problème.

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TEL : 01 47 04 31 30

FAX : 01 47 04 01 64

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