C´est un profond malaise qui secoue l´Assistance publique – Hôpitaux de Paris : les 351 fœtus et corps d´enfants morts-nés dérangent. Comment se fait-il qu´ils aient été conservés en dépit des procédures en vigueur ? A quelles fins étaient-ils destinés ? Pourquoi le chef de service arrivé à St Vincent de Paul en juillet 2004 ne s´était rendu compte de rien, ou tout au moins n´avait rien dit ?