La CNAM est visiblement très soucieuse du respect des conditions de prescription des statines, classe thérapeutique dont les coûts représentent aujourd´hui une part plus que significative des dépenses de médicaments. Mais faut-il s´étonner de cette part quand on connaît l´efficacité de ces produits et la pression mise à juste titre sur les médecins et les patients quant à l´importance de la prévention, primaire ou secondaire, du risque cardiovasculaire ?