En 2004, la loi sur la prise en charge des personnes dépendantes et des personnes handicapées instaure la « journée de solidarité ». plutôt que d’imposer plus encore la population, on décide de sacrifier un jour férié sur l’autel de la solidarité et de la fraternité. C’est décidé : les Français travailleront une journée supplémentaire et le « fruit » de cette journée tombera dans l’escarcelle d’une nouvelle caisse : la CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie)