Depuis plusieurs semaines, les étudiants de l’ANEMF (association nationale des étudiants en médecine de France) cherchent à influer sur la répartition des postes d’internes sur le territoire, basant leur argumentation sur un rapport de l’Observatoire national de la démographie des professions de santé* (ONDPS).Guillaume Müller, président de l’association, explique, dans un entretien à Egora, que « les projections faites par l’ONDPS montrent que c’est en accordant 56 % des postes aux spécialités et 44 % aux généralistes que la situation démographique sera la plus stable ».