« On est un peu énervé d’être montrés comme les trublions de la République ». Jean-Paul Hamon, l’un des cinq porte-paroles de la coordination nationale des médecins généralistes et vice-président de la fédération des médecins de France (FMF) est amer. Il n’accepte pas l’acharnement avec lequel Jean-François Mattéi rend les médecins de ville responsables de tous les maux. Ironique, il signale, lors d’une interview accordée à Egora, que « pour le Titanic et l’Erika, on a un alibi ».