L’UNOF-CSMF, premier syndicat de médecins généralistes, demande à ce que la convention médicale soit agréée dans les plus brefs délais afin que la mise en place des dispositions prévues pour les médecins généralistes soit rapidement visible dans leur quotidien, particulièrement sur le sujet de la permanence des soins.

 Devant l’absence de mobilisation de l’immense majorité des médecins généralistes contre cette convention, il est inadmissible qu’un syndicat minoritaire, qui a régné de manière autoritaire pendant dix ans, n’ait même pas la décence de respecter les règles les plus élémentaires de la démocratie, et notamment le fait majoritaire au sein de la médecine générale.

Cette agitation groupusculaire n’a pas d’autre but que de faire échouer la réforme de l’assurance maladie à laquelle la plupart des français adhère.

 L’UNOF-CSMF rappelle que son combat repose sur la reconnaissance de la médecine générale en coordination avec toutes les autres spécialités et la valorisation de sa spécificité dans les soins coordonnés et de premier recours.

 Les premières avancées dans ce sens obtenues pour tous les médecins de famille de ce pays ne sauraient être entravées par un syndicat qui ne vise qu’à protéger les quelques privilégiés de l’option référent.

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