Dinorino Cabrera veut tordre le cou aux critiques qui surgissent ça et là pour décrédibiliser la convention signée la semaine passée. S’il sait qu’en France, on ne peut concevoir de réforme sans levée de boucliers, démocratie oblige, il considère toutefois qu’il y a parfois de la désinformation. Non, dit-il, rien n’encourage les spécialistes dans la nouvelle convention à mettre en place deux listes d’attente, favorisant les patients en accès direct comme certains le prétendent, et ce, pour trois raisons : premièrement, « un médecin correspondant doit recevoir le patient qui lui est adressé dans des délais compatibles avec son état de santé ».