Bis repetita ! Comme l’an passé, les urgentistes de l’AMUHF (Association des médecins urgentistes hospitaliers de France) dénoncent un trop grand nombre de lits fermés. « L’optimisme affiché » par le ministère de la Santé ne devrait pas être, pointe Patrick Pelloux, soulignant que les hospitaliers avaient espéré qu’au vu de l’expérience de l’été passé, la politique de l’emploi à l’hôpital aurait été adaptée aux réels besoins du terrain. « Si nous avions à faire face à des afflux massifs de patients comme l’an passé, nous serions confrontés aux mêmes difficultés », considère-t-il, concédant tout de même que les actions de prévention décidées par Philippe Douste-Blazy constituent de réelles avancées