Lettre Hebdo 855 /// 03-06-2020

EDITO : Rêvons plus grand !

Vous en avez rêvé ? La CSMF l’a fait !
« Les Généralistes-CSMF », partant du constat qu’en temps de crise, l’ARS de la plus grande région de France est capable de proposer aux médecins une rémunération de 140 euros de l’heure, a fait, il y a deux semaines, un éditorial musclé et a réclamé une consultation à 45 euros.
Notre Président, Luc Duquesnel, dont le travail depuis des années de représentant syndical auprès des tutelles est rigoureux, précis, responsable et progressiste, a réussi à faire avancer l’idée que les consultations de tous ces patients en ALD, perdus de vue pendant le confinement, seraient longues et complexes, bien appuyé en cela par le Président de la CSMF, Jean-Paul Ortiz.
Aussitôt dit aussitôt fait, cette consultation voit le jour : PCV ou CCX à 46 euros (selon si votre logiciel est à jour ou pas), en tiers payant, valable jusqu’au 30/06/2020, pour les patients non vus en présentiel pendant le confinement ! Lire les informations sur le site de CNAM.
Ce n’est qu’un début.
La majorité de nos consultations sont complexes. Les revaloriser à leur juste valeur, c’est donner les moyens à la médecine de ville d’avancer, de se réformer, et d’attirer : c’est le bon calcul à faire pour que les jeunes, avides d’exercice coordonné et de pertinence des soins, s’installent.
Les grandes centrales polycatégorielles n’ont décidément pas dit leur dernier mot, et la première d’entre elles, la CSMF, est plus que jamais avec vous pour accompagner la médecine de demain.
Lire le communiqué de la CSMF

Dr Mickaël Riahi, Vice-Président des Généralistes-CSMF délégué à l’exercice coordonné

HOMMAGE : Jean Lafargue in memoriam

Jean nous a quittés. Je pense d’abord à sa famille et à ses proches qui voient disparaitre leur parent et ami. Qu’ils reçoivent ici ma sympathie et mes sincères condoléances.
Jean, que j’ai eu l’honneur de connaitre au sein du Comité Directeur de l’UNOF devenu Les Généralistes-CSMF, était un grand syndicaliste, de ceux qui vous apportent toujours quelque chose dans l’échange. Je pense à mes collègues de Lorraine qui défendaient la profession avec lui.
Jean était un grand médecin de la proximité, toujours en réflexion sur son métier mais aussi sur son évolution collective dans l’organisation sanitaire.
Avoir Jean au sein d’une assemblée qu’on préside n’était pas chose facile. Il fallait peser chaque mot au trébuchet de son analyse qui pouvait devenir rapidement cinglante, jamais méchante. Dire de Jean qu’il n’était que de l’eau froide serait faire injure à sa mémoire. Il était grave, réfléchi, fidèle et démocrate acceptant la décision de ceux qu’il estimait porter la pensée majoritaire.
Dans nos échanges ce qui le caractérisait, c’était le silence. Celui de l’écoute de l’autre, de l’analyse et de la préparation de l’expression de sa position, toujours accompagné d’un petit sourire narquois sous sa moustache à l’adresse de celui qui s’exprimait lui faisant redouter un pire qui n’arrivait jamais car le respect de ses congénères était sa marque de noblesse. L’autre silence était celui de l’écoute de l’assemblée quand il prenait la parole, tout à l’attention d’un raisonnement structuré, humaniste, bienveillant ou acerbe selon les propositions avancées. Jean était écouté et respecté. Il replaçait toujours le débat à un niveau élevé pour emmener notre réflexion professionnelle au plus près de sa conception élitiste de notre médecine générale et de la liberté d’exercice.
Jean avait participé à cette reconnaissance de la médecine générale que nous avons porté en commun. J’ai eu l’honneur de l’avoir parmi les fidèles de mon action malgré quelques divergences plus sur la forme que sur le fond. Moi-même et toute la profession, soyons fiers d’avoir dans nos rangs des personnages de son calibre pour nous emmener plus loin, sans concession, et avec cet humanisme pierre angulaire de notre activité au service de la population.
Jean nous a quittés mais il laisse derrière lui le chemin qu’il faudra toujours entretenir pour porter plus haut et mieux les ambitions d’un métier qu’il a si bien défendu et représenté. A chacun de la famille des Généralistes de la CSMF de continuer ce travail pour honorer sa mémoire, le meilleur moyen de lui rendre hommage, et pour ceux qui l’ont bien connu noyer notre chagrin sur la route tracée.

Dr Michel COMBIER, Président d’Honneur Les Généralistes-CSMF

COUP DE GUEULE : Retour du terrain

La plupart des collègues ayant sollicité l’aide de la CARMF pour les indemnités Covid-19 n’ont rien reçu, n’ont aucune réponse mail ni téléphonique. Est-cela une gestion responsable ? Des explications du président de la CARMF ?
Faites-nous un retour (envoyez-nous un email) si vous aussi avez des difficultés avec les indemnités Covid-19 promises par la CARMF.
Pour en savoir plus sur la gestion de la CARMF et la prime des 2000 euros, lire le communiqué de la CSMF

BILLET D’HUMEUR : Et si on réécrivait toute la copie ?

Dans certaines facultés, les épreuves de PACES vont à peine durer vingt minutes. À la suite de la réforme des études médicales, la plupart des étudiants ne pourront pas redoubler. Cette promotion d’étudiants risque donc d’être doublement sacrifiée.
Réaffirmons qu’il s’agit d’une grave erreur d’avoir supprimé le numerus clausus : il suffisait de le relever. La réforme de la première année est mal ficelée avec des passerelles incompréhensibles et illisibles qui ont pour première conséquence l’absence effective d’augmentation de nombre de places en PACES.
Empêcher de redoubler va contre l’ascenseur social que sont et doivent rester les études de médecine : les « laborieux », ayant besoin de plus de temps pour réussir, viennent souvent des classes populaires.
La réforme des ECN est dangereuse car sujette là encore au copinage et à tout ce que voulaient éviter nos aînés qui se sont battus pour un concours de l’internat, qui a certes des défauts mais est égalitaire par essence.
Ces réformes complexes et essentielles, faites dans la précipitation, ont-elles pour but de dévaloriser les diplômes de docteur en médecine et en pharmacie, de sage-femme et kinésithérapeute ?
A l’heure du Ségur de la santé, c’est une exigence morale de remettre à plat ces réformes qui ont été conçues sans les médecins de terrain, libéraux et hospitaliers, jeunes et anciens.
La situation scandaleuse que vivent les étudiants de PACES – comme d’autres sur le territoire – nous amène à exiger du gouvernement d’une part, de proposer pour la promotion actuelle la possibilité de redoubler de manière classique avec un nombre conséquent de places en première année de médecine, et d’autre part de réouvrir le dossier de la réforme des études de médecine en incluant l’ensemble des professionnels de santé.

Dr Mickaël Riahi

Ségur : On écoute enfin les soignants ?

La crise sanitaire a mis en lumière tout ce qu’on savait déjà.
Des médecins et soignants libéraux et/ou hospitaliers qui ont soigné sans relâche, se sont adaptés, ont innové malgré les difficultés et le manque scandaleux de protections au péril de leur santé et de leur vie.
Une administration qui s’est hypertrophiée au fil des années et des nouveaux métiers (utiles ?) tels que qualiticiens et autres infirmiers hygiénistes avec lesquels il a fallu batailler pour avoir des masques dans les EHPAD et dans les centres hospitaliers. Des ARS, engluées dans leur lourdeur et nous laissant nous débrouiller seuls sur le terrain sans nous épauler.
Un gouvernement qui nous a menti et instillé des messages contradictoires tout au long de cette épidémie. Et si nous revenions aux fondamentaux : La gouvernance des hôpitaux et des cliniques aux médecins et aux soignants.
Le parcours du patient centré sur le médecin traitant. L’organisation de la continuité et de la permanence des soins, le parcours de soins des patients poly-pathologiques, la prévention, laissés à chaque territoire et pas sur un seul modèle ! (Lire le communiqué de presse maladroit du président de la Fédération des CPTS).
Un premier et deuxième recours dont il n’est plus à démontrer l’efficience quand ce sont des médecins libéraux qui les prennent en charge.
Un hôpital qui doit se concentrer sur les urgences vitales, les pathologies très complexes, le troisième recours et ne plus dépendre économiquement des passages aux urgences (dont 85 % des patients n’ont rien à y faire).
Nous n’avions pas assez de lits en réanimation et à côté de cela, l’hôpital organise des consultations de médecine générale : ne mélangeons pas les genres.
Sortons du dogmatisme qui depuis 20 ans est coûteux et inefficace : Pas de concurrence libéral/hospitalier mais une juste rémunération, une définition des rôles pour chacun d’autant que les jeunes générations de médecins auront un exercice mixte.
Nous ne nous faisons pas trop d’illusion mais on aimerait que ce Ségur accouche d’un modèle original à la Française plus efficient médicalement et économiquement.

Dr Sylvaine LE LIBOUX, Secrétaire Générale Les Généralistes-CSMF

Dites-le en poésie

Dites-le en poésie vous présente sa nouvelle balade parisienne, autour de la prévention de la Covid19, dans ce deuxième acte du déconfinement : c’est « Le retour à la vie ».
En hommage à notre ami Jean…

LE JOURNAL D’EMPATIX

Peut-on rire dans une telle situation ? Non seulement nous le pouvons, mais nous le devons. Le nombre de blagues, de parodies, de partages sur les réseaux sociaux contrebalancent les mauvais côtés de ceux-ci. Le rire respectueux nous aide et nous sauve, et contribue à rendre nos larmes moins amères. Alors, Empatix reprend du service ; il sort de sa quarantaine..

Bienvenue dans Pandemix, journal du front.

Vaccingétorix, le génial savant de Marseille, clive jusque dans notre village ; entre les pro et les anti-hydroxychloroquine, pas de quartier ! A coup de revues d’EBM, de serments d’Hippocrate, de livres d’éthiques ou de tweets mal formulés, Expertix, Heurfix et Aspirine se livrent une guerre sans merci. « Lancez les chiens » ai-je crié pour calmer le jeu. Sans effet.Jetesoutiensmordicus, un médecin hospitalier de la région signataire de la tribune NoFakeMed, semble enfin douter : et si l’évidence supplantait l’Evidence Base Medecine ? Son rigoureux sang scientifique ne fit qu’un tour. « Impossible, se reprit-il, j’ai rédigé trop de tweets pour changer d’avis ».
Loin de ces considérations, Autodétermine et Souslesoleildestropix, nos collègues des DOM TOM, ont finalement bien résisté au Covid-19. Il faut dire qu’avec le chikungunya, ils avaient eu une répétition générale il y a quelques années : épidémie qui remplace tous les motifs de consultation pendant plusieurs mois, désorganisation du système de santé… Ce n’était pas aussi grave, mais quand même, ce fut à la Covid-19 ce que notre championnat de football est à la Ligue des Champions : un bon entraînement. Mais qu’ils ne se réjouissent pas trop vite : ils risquent de voir arriver nombre de métropolitains cet été. Ils sont déjà prêts à les accueillir en chantant « On va s’aimer »…
Sympatix, notre pétillant collègue qui exerce son art entre Toulouse et Perpignan, rayonne pour son anniversaire : son ami Syndicalix a enfin obtenu qu’une consultation de suivi soit jugée suffisamment complexe pour être rémunérée comme telle. « Des années qu’on le réclame ! » claironne-t-il avec son accent du sud, musicalité qu’on a envie d’entendre en ces temps de renouveau.

Ankylosix, notre doyen qui décompense depuis la crise, est allé trop loin lors de sa virée parisienne, et a escaladé les grilles d’un parc restées fermées jusqu’à peu. « Désobéissance civile » hurlait-il quand on l’a sorti manu militari. Le pauvre Phénix, son ami retraité, parti en urgence payer sa caution, l’a ramené et va prendre soin de lui pour le rétablir de tous ces évènements. Mais ce n’est pas gagné : durant le trajet, il hurlait à tous les véhicules diesel croisés sur l’autoroute « Extinction, Rebellion » ! Folix, notre psychiatre, ne va pas chômer dans les temps qui viennent.
Eneffix, l’ancien célèbre ministre de la santé cardiologue toulousain, inventeur de la non moins célèbre carte vitale, est lui aussi monté au créneau. Il faut dire qu’éteindre les incendies, il s’y connaît ! Il avait tout de même dirigé l’avenue de Ségur après la canicule. Et personne n’a oublié l’objet fétiche, le BRUMISATEUR, devenu le symbole de son action. Finalement, beaucoup de points communs avec Orientix, notre nouveau ministre, qui doit son nom à son célèbre forfait de réorientation des urgences. Lui aussi, succède à un professeur hospitalier dépassé par une crise sanitaire majeure. Lui aussi, aura toujours attaché à son nom un objet fétiche : le MASQUE DE PROTECTION. En revanche, pas de carte vitale… ce serait plutôt une carte fatale pour l’instant…
Mais avouons-le, ni lui ni Soupline, notre ancienne ministre – qui finalement revient dans la course électorale à Lutèce avec sa nouvelle ancienne meilleure ennemie devenue meilleure amie et ancienne garde des sceaux Diamantine – ne sont devenues ministres à la période la plus simple de notre histoire moderne, c’est un euphémisme… Alors, ne jouons pas trop aux faciles procureurs de l’arène moderne médiatique et essayons d’être constructifs !

Ils pourront toujours nous raconter leur vérité, plus tard, s’ils publient un jour leur journal intime, dont on espère qu’il sera aussi monumental que celui du philosophe Henri-Frédéric Amiel, dont on salua la clarté de pensée et la sincérité de son introspection. On le connaît pourtant plus pour son hymne militant « Roulez, tambours ! », que notre Edith Piaf nationale avait poétiquement transformé en chanson contre la guerre. « Chaque paysage est un état d’âme » est une maxime qu’il nous légua…

« Pour agir, il faut croire, et pour croire, il faut se décider, trancher et affirmer ». Henri-Frédéric Amiel A suivre

Dr Mickaël RIAHI

FORMATION : Evolutis DPC, l’ACFM et FORMUNOF vous proposent des formations en classes virtuelles

Périnatalité et perturbateurs endocriniens : découvrir, comprendre, agir (DPC classe virtuelle)
Jeudi 11 Juin à 15h00
Expert : Dr Joël SPIROUX DE VENDOMOIS,
Médecin généraliste, Président du CRIGGEN, Evreux (27)
Inscription sur le site mondpc.fr Référence 11872000026 Session 1

Objectifs principaux :
– Définition d’un perturbateur endocrinien (PE) et de l’épigénétique.
– Présentation de quelques PE emblématiques comme le Distilbène
– PE et troubles de la fécondité, malformations néonatales, dysfonctionnements thyroïdiens…

Certificat d’absence de contre-indications à la pratique du sport (FAF PM)
Mercredi 10 Juin à 20h00
Expert : Dr Yves HERVOUET DES FORGES, Médecin du sport- Ancien médecin de l’INSEP et des équipes de France, Paris (75)
Inscription par mail : je m’inscris
et joindre vos attestation à l’URSSAF et RIB

Objectifs principaux :
– Lister des disciplines à contraintes particulières.
– Identifier les contre-indications des pratiques sportives.
– Prescrire les examens complémentaires

Sensibilisation des médecins à l’aptitude médicale à la conduite (FAF PM)
Mardi 16 Juin à 20h00
Expert : Dr Dominique RICHTER, Médecin généraliste, Président du SMACMAC, Jarny (54)

Inscription par mail : je m’inscris
et joindre votre attestation URSSAF et RIB

Savez-vous quand et pourquoi vous devez dire à votre patient de passer devant un médecin agrée du permis de conduire ? Quand vous lui prescrivez du subutex ? Pendant combien de temps après un IDM il ne peut conduire ? Et votre patient épileptique ? Le Dr Dominique Richter vous sensibilisera à toutes ces situations et d’autres encore.

Un assistant médical : pourquoi pas ? (FAF PM)
Mardi 16 Juin à 20h30
Expert : Dr Julie CARON, Médecin Généraliste, Directrice Evolutis DPC

Inscription par mail : je m’inscris
et joindre votre attestation URSSAF et RIB

Objectifs principaux :
– Comprendre les paramètres de l’avenant N° 7 : Les objectifs, les critères et les contreparties,
– Envisager les points positifs (confort, qualité, efficience…), qui peut en bénéficier ?

Savoir dire non à un patient (FAF PM)
Jeudi 11 Juin à 20h00 Jeudi 18 Juin à 20h00
Expert : Mme Valérie GATEAU, Dr en Philosophie, Paris (75)

Inscription par mail : je m’inscris
et joindre votre attestation URSSAF et RIB

Objectifs principaux :
– Lister les différents modèles de la relation médecin/patient.
– Repérer les facteurs qui rendent difficile ou qui facilitent le refus.
– Comprendre les phénomènes de transfert et de contre-transfert ainsi que leur importance dans la relation de soin.
– Identifier les biais qui influencent la relation.

Covid-19 : le digital au service de la communication avec les patients

Le Covid-19 met en exergue les besoins d’information au sein des cabinets. Le rappel des gestes barrières et autres conseils de prévention doivent plus que jamais tenir leur place en salle d’attente. Les écrans sont particulièrement adaptés à ce type de communication car, en plus d’être hygiéniques et d’informer tous les patients sans aucun contact, ils animent efficacement l’espace d’attente et contribuent à détendre et occuper la patientèle. Enfin, les écrans sont les outils incontournables pour informer sur le fonctionnement de son cabinet : prise de rendez-vous, horaires, téléconsultation, etc.

Offre IDS media tout compris : écran + installation + maintenance + programmes prévention : 39€ TTC/mois TOUT COMPRIS

En tant qu’adhérent « Les Généralistes-CSMF », profitez de 25% de remise sur ce tarif soit 29€ TTC / mois.

Partenariat Les Généralistes-CSMF x Maiia : Evolution de Docavenue

Le contexte particulier lié au confinement est en train de démocratiser la téléconsultation dans votre pratique et vous faites peut-être d’ailleurs partie des médecins qui ne peuvent plus exercer en cabinet.

Pour faire face au coronavirus, protéger vos patients et vous-même et continuer votre activité depuis chez vous, avez-vous pensé à la téléconsultation ?

Découvrez la téléconsultation Maiia : Docavenue devient Maiia Parmi l’ensemble des outils de téléconsultation qui ont récemment fait leur apparition sur le marché, le ministère des solidarités et de la santé vous aide à faire le tri en référençant et notant les plus pertinentes.

Maiia est la seule solution qui permet la téléconsultation SANS RDV : vous pouvez vous rendre immédiatement disponible pour tous les patients ou uniquement vos patients.

A partir de cette semaine également, Maiia lance un nouveau module lié à la Base Claude Bernard qui vous permettra de générer vos ordonnances en quelques clics, 100% fiable et sécurisée, même si vous n’avez plus accès à votre logiciel de gestion de cabinet.

Avec ce nouveau module, profitez gratuitement de l’intégralité de la base du médicament la plus complète du marché, plébiscitée par l’ensemble des acteurs de la santé.

Les + de la BCB
• Posologie structurée
• Analyse globale d’ordonnance selon les données patients (biométrie, allergies, pathologies) • Recherche des interactions médicamenteuses
• 1re base agréée HAS (Haute Autorité de Santé) en 2008

L’offre de téléconsultation Maiia est à 69€ TTC par mois. Une bonne raison de se familiariser avec ce nouvel usage et d’adopter la solution la plus complète et évolutive du marché.
Pour rappel, les conditions spécifiques pour les adhérents au syndicat « Les Généralistes-CSMF » sont les suivantes : 1er mois à – 50% et une remise permanente de -10% sur le tarif de l’abonnement (agenda, téléconsultation ou les 2).
Pour plus d’informations : maiia.com pro ou contactez Maiia au 01 49 09 34 99.