VIDEO – Ils lui retirent un cafard vivant logé dans le crane

Le blattoptère était entré dans la nuit par les narines de cette Indienne. Il y est resté 12 heures avant qu’un spécialiste finisse par identifier le problème.

En examinant sa patiente de 42 ans qui se plaignait de maux de tête, ce médecin ne s’attendait pas à tomber sur un cafard.

Réveillée en pleine nuit par une sensation désagréable derrière les yeux, cette Indienne s’est rendue dans une clinique locale de Chennai, dans le sud du pays, où on lui a pratiqué un lavage nasal. Mais la douleur était toujours là. “C’est une sensation difficile à expliquer, mais j’étais sûre que c’était un insecte. J’ai ressenti à la fois des picotements et quelque chose qui rampait. Chaque fois qu’il se déplaçait, cela me brûlait les yeux”, relate Selvi à l’Indian Express.

Un spécialiste de l’hôpital universitaire Stanley prend le relai: en examinant les canaux nasaux de la patiente à l’aide d’un endoscope, il aperçoit “des petites pattes bouger à l’intérieur”. Poussant plus loin ses recherches, le Dr M.N. Shankar réalise qu’il est en train d’observer “le postérieur d’un cafard”. Du jamais-vu en trente ans de carrière. Le blattoptère était entré par les narines de la femme pendant son sommeil et avait si bien avancé qu’il se trouvait presque à la base du crâne.

Le passager clandestin fut finalement aspiré hors du nez, gigotant et bien vivant. “Si Selvi avait attendu quelques heures de plus, l’insecte aurait fini par succomber. De quoi provoquer une infection et probablement la mort de la patiente”, a indiqué le docteur Shankar.

Voir la vidéo de cette intervention :

Global Media Sante on Vimeo.

 

[Avec AFP et Indianexpress.com]

Source :
www.egora.fr
Auteur : A. M.

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Il vole les papiers d’un médecin et exerce à l’hôpital pendant 11 ans

Un rhumatologue britannique a découvert que son identité avait été volé par un homme, qui pendant onze ans. Ce dernier a exercé dans un hôpital en Australie, alors qu’il ne possédait aucune qualification.

Shyam Acharya a dérobé les papiers d’identité du docteur Sarang Chitale, en Inde, avant d’aller s’en servir en Australie, en 2003, rapporte The Telegraph cité par BFMTV. Sur place, il s’est fait enregistrer par le Conseil médical de l’Etat de Nouvelle-Galles au sud-est de l’Australie, qui a appuyé sa demande de visa.

Une fois devenu citoyen australien sous le nom du docteur Sarang Chitale, il a passé onze ans à soigner des patients aux urgences dans quatre hôpitaux différents. Après ses années comme médecin, il s’est tourné vers des laboratoires pharmaceutiques, AstraZeneca et Novotech pour faire de la recherche, en 2014.

C’est la société Novotech qui a alerté les autorités après avoir eu de sérieux doutes sur les qualifications du médecin. Une décision qui a poussé le faux médecin à fuir. Il n’a toujours pas été retrouvé.

Désormais les autorités de santé examinent chaque dossier des patients traités par le faux médecin. Une plainte a été enregistrée.

[Avec bfmtv.com]

Source :
www.egora.fr
Auteur : S. B.

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Greffé cardio-pulmonaire, il termine le marathon de Paris en 5h15

Jonathan Drutel, malade de la mucoviscidose, greffé cardio-pulmonaire, a terminé dimanche dernier le marathon de Paris en 5h15, rapporte Le Parisien.

En réalisant cet exploit, le trentenaire transplanté en 2009 a atteint son double objectif : terminer la course et redonner de l’espoir aux malades. Il n’a pas réussi à passer sous la barre des 4 h 30, comme il l’envisageait. Mais le sportif, qui n’avait jamais pratiqué la course à pied, n’a véritablement commencé l’entraînement qu’en septembre dernier à la suite d’un pari entre amis. Après une série de tests favorables, le Pr François Philit, qui le suit en saluant son “niveau et sa volonté”, lui a donné le feu vert.

Jonathan Drutel reconnait sur cnews.fr que la période très dure qu’il a traversée lui a tout de même permis de se projeter dans l’avenir. Il se fixe désormais un nouveau challenge : participer à un triathlon.

[Avec Le Parisien et cnews.fr]

Source :
www.egora.fr
Auteur : C. L B

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450 000 psychotropes saisis dans un camping-car à Dieppe

450 000 cachets de psychotropes ont été saisis dans un camping-car à Dieppe (Seine-Maritime). Le véhicule, immatriculé en Pologne, partait pour l’Angleterre.

“En volume, cette saisie est assez exceptionnelle. Ces médicaments qui n’avaient pas d’autorisation de mise sur le marché étaient dissimulés dans tout le véhicule”, a-t-on indiqué à l’AFP. La saisie a eu lieu le 20 mars dernier.

Ces médicaments psychotropes – ne pouvant être obtenus que sur ordonnance quand ils sont légaux – peuvent être coupés avec de la cocaïne et de l’héroïne. Ils étaient destinés au marché britannique, a-t-on expliqué.

Le camping-car s’apprêtait à emprunter la ligne de ferries Dieppe-Newhaven.

[Avec AFP]

Source :
www.egora.fr
Auteur : S. B.

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