L’UNOF, branche des Médecins Spécialistes en Médecine Générale de la CSMF, Premier Syndicat Médical, veut être le fer de lance contre l’application de la Loi Bachelot qui met en danger les cabinets libéraux de Médecine Générale.

 

L’UNOF-CSMF profitera de l’élection aux Unions Régionales de Professionnels de Santé (URPS) Médecins pour défendre sa vision de la Médecine Générale qui ne peut se concevoir sans les médecins de famille actuellement en exercice.

 

L’UNOF-CSMF mène depuis deux mois le combat pour la revalorisation du C à 23 euro là où tous les autres ont baissé les bras face au bulldozer technocratique et aux promesses non tenues.

 

L’UNOF-CSMF demande aux Médecins Généralistes de :

–       Coter le C à 23 euro et le V à 33 euro,

–       De boycotter la télétransmission le mardi, la transmission des arrêts de travail et des protocoles de soins qui font des Généralistes les opératrices de saisie de l’Assurance Maladie.

 

L’UNOF-CSMF s’opposera à toute manipulation électorale et dénoncera toute atteinte anti-démocratique du décret paru la semaine dernière.

 

L’UNOF-CSMF demande aux Médecins Généralistes d’être vigilants sur les propos lénifiants qui n’ont pour d’autre but que de changer le système de soins et faire des Généralistes des officiers de santé à la botte de l’Etat et de l’Assurance Maladie.

 

L’UNOF-CSMF demande aux Médecins Généralistes de s’opposer à toutes les mesures de rétorsion (déclaration d’absences, contrat santé solidarité, prescriptions par d’autres professions non négociées…), s’ils ne veulent pas que leur métier soit demain géré comme l’a été la vaccination contre la grippe A/H1N1.

 

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Docteur Michel COMBIER

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