La Médecine Générale en a marre d’attendre !

Depuis deux ans, depuis l’arrivée dans la Convention des opposants, plus rien ne bouge.

Les Médecins Généralistes reçoivent de nombreuses flatteries des tutelles sur leur côté indispensable dans la proximité des patients, leur implication dans la prise en charge de la prévention des maladies chroniques et de la sempiternelle efficience. On les remercie même pour leur implication dans la grippe H1N1. Mais on les remercie comme on remercie un laquais. Merci mon bon docteur, vous avez bien travaillé. Pour vos émoluments, on verra plus tard. La période est difficile. Il faut tirer le char de l’Etat. Vous n’êtes pas les plus malheureux. Grâce à votre sacrifice (pas celui des politiques), on va pouvoir s’occuper des plus nécessiteux. Rompons là, on risque de devenir poujadiste. Mais devant autant d’hypocrisie et de mépris, comment ne pas se laisser aller à s’exprimer comme beaucoup de confrères déçus et désabusés le font actuellement.


L’UNOF résolument pour la revalorisation de la Médecine Générale

L’UNOF continue son combat pour la revalorisation de notre profession.
Comme en 2002, après deux ans d’immobilisme, on en arrive au ras le bol professionnel. Si on a seulement le CAPI à nous proposer, il va falloir revoir la copie. 85 % des médecins généralistes ont refusé cette proposition dont la vraie revalorisation ne se fera qu’au bout de l’an. Et beaucoup de déception à attendre une fois le boulot fait …
On parle de restructuration. Sans moyen. Pourtant les précédentes revalorisations ont montré que les médecins généralistes les utilisaient pour faire évoluer leur exercice : diminution du nombre de visites, augmentation des consultations sur rendez-vous, amélioration de la réponse aux patients, etc.
Avoir arrêté la dynamique a réduit la possibilité de poursuivre cette évolution pour permettre un meilleur service sans accroître la charge de travail.

Lire le communiqué de l’UNOF-CSMF


Grippe A H1N1 : état des lieux

La grippe vient de passer en phase épidémique. Le recours aux Médecins Généralistes va s’accroître. Pas uniquement pour ce virus mais aussi pour des pathologies cousines où le Médecin Généraliste a toute son expertise pour faire le diagnostic différentiel (d’autant plus utile en terme de retour d’informations).

Le Politique, après avis des autorités scientifiques, a fait le choix de la vaccination de masse. Chacun fera son opinion pour sa propre personne, sans oublier dans sa décision que le rôle altruiste du vaccin ne doit pas être négligé par les professionnels de Santé, visitant régulièrement des patients en position de faiblesse.

Le choix fait par les tutelles est de se protéger et protéger les autres, en privilégiant les personnels de réanimation néonatale et pédiatrique, les médecins et professionnels de santé, conjointement aux personnes les plus vulnérables.

Vaccinée ou non, la Médecine Générale a l’occasion de montrer à tous son sens de la responsabilité et de conforter sa place dans le système de soins. Et confondre les décideurs aux yeux de tous les Français dans leur léthargie de la reconnaissance.

Il s’agit bien là d’une responsabilité professionnelle collective.


Grippe H1N1 2009 : halte à l’inflation des certificats

La demande afflue au niveau des cabinets médicaux pour les certificats de non contagion après un épisode infectieux saisonnier qui souvent n’est pas la grippe.

L’UNOF permet de télécharger sur son site (www.unof.org) l’état actuel de la législation.

Pour l’instant, les autorités n’ont pas introduit d’autres obligations concernant le cas particulier de la grippe H1N1 2009.

Assez des contraintes administratives qui pèsent sur l’exercice ! Laissez les médecins faire de la médecine !


Le bal des faux jetons

On n’est jamais à court de surprises. Les syndicats qui ont soutenu la Loi s’étonnent maintenant de voir arriver la déclaration d’absence comme premier décret.

MG France dit que le problème n’est pas là.

Union Généraliste lui s’indigne. Il s’imaginait qu’en pérorant sur les estrades des Egéos, on n’allait rien leur demander en échange.

Seulement, le politique avance et se fiche pas mal de leurs états d’âmes. Certes, à eux rien ne leur est imposé.

Par contre, on demande à tous les médecins de s’abaisser par rapport à leurs temps de repos.

Félicitations aux ravis de la Loi HPST, globalement positive ! Et toujours contraignante.

Docteur Michel COMBIER
Président.


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EN BREF :

XVème UNIVERSITE D’ETE : LA CSMF FORCE DE PROPOSITION

La CSMF a tenu le week-end dernier sa XVème université d’été en présence de plus de 230 cadres confédéraux qui ont réfléchi ensemble sur les moyens de relever les nouveaux défis proposés à la médecins libérale après le réforme.

Après le combat mené contre le projet loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires », parce qu’il présentait des dangers pour la médecine libérale, alors que la loi est votée, la CSMF compte à présent influencer la rédaction de ses textes d’application. Au-delà, il s’agit aussi, après deux ans d’immobilisme conventionnel imposé qui pénalise la profession et fragilise certaines spécialités, de construire une nouvelle convention pour insuffler une nouvelle dynamique en cohérence avec la nouvelle organisation de notre système de santé. La CSMF veut aller de l’avant et faire entendre ses projets.

La ministre de la Santé, qui a participé au face à la presse a promis d’associer les organisations syndicales à la rédaction de ses décrets. A maintes reprises, la ministre a affirmé son attachement à la vie conventionnelle, disant compter sur les efforts des médecins et sur le dynamisme conventionnel pour tenir les objectifs de maîtrise. Pour autant, elle a affirmé ne pas avoir tranché entre la prorogation de la convention actuelle et la mise en place d’un régime arbitral, laissant ainsi planer le doute quant à ses intentions réelles d’aller vers une nouvelle convention ou de maintenir le statu quo de l’immobilisme conventionnel actuel. La CSMF lui a fait des propositions innovantes pour avancer sur le plan conventionnel via une nouvelle convention, les prendra-t-elle ?

 Lire le discours de Michel Chassang Président de la CSMF

 Lire le discours de la ministre devant les confédérés

 Lire la synthèse du face à la presse de la ministre de la santé

 Voir toute l’université d’été sur le site de la CSMF

NEGOCIATIONS CONVENTIONNELLES : TOUJOURS PAS DE DATE EN VUE

Alors que le directeur de l’UNCAM dispose désormais d’un mandat de négociation délivré à l’unanimité, moins une voix, par le Conseil de l’UNCAM pour ouvrir les discussions avec les syndicats médicaux, il avait indiqué lors de l’université d’été de la CSMF qu’il réunirait les partenaires conventionnels avant la fin du mois. Nous voici le 25 septembre et toujours pas de date ! Pourtant le temps presse car la date butoir du 15 octobre approche, à partir de laquelle en l’absence d’accord conventionnel, la loi donne au gouvernement le pouvoir de trancher seul sur le secteur optionnel, par simple arrêté.

LES ORIENTATIONS DU CONSEIL DE L’UNCAM POUR LA FUTURE CONVENTION MEDICALE

Le directeur général de l’UNCAM dispose désormais d’un mandat clair pour ouvrir les négociations avec les syndicats médicaux, puisque les orientations en vue des négociations conventionnelles ont été adoptées par 17 voix contre 1 (celle de la CGT) par le conseil de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie. Ces orientations prévoient l’évolution des modes de rémunération des médecins libéraux, « afin de créer, à côté du paiement à l’acte, un niveau de paiement au forfait notamment pour les pathologies chroniques et un niveau de rémunération à la performance », précise le communiqué de la présidence de l’UNCAM. D’autres orientations prévoient « des actions visant à renforcer la coopération entre médecins en zone rurale comme urbaine, à améliorer la prise en charge des pathologies lourdes dans un contexte où la médecine de premier recours doit être valorisée ».

S’agissant de la régulation des honoraires, le conseil de l’UNCAM affirme à nouveau que « la mise en place d’un secteur optionnel ne peut s’envisager sans maîtriser les dépassements en secteur 2 et en secteur privé à l’hôpital, par des mesures de régulation efficaces ».

Par ailleurs, au sujet de la répartition géographique des médecins, le conseil de l’UNCAM regrette que des « mesures désincitatives » à l’installation en zones sur denses « ne puisent être prises dès à présent pour des motifs d’ordre juridique », puisque la loi HPST les a reportées à trois ans. Aussi, demande-t-il aux partenaires conventionnels d’envisager des mesures de régulation complémentaires.

Concernant les négociations avec les médecins, le directeur de l’UNCAM a dit qu’il se conformerait à la loi et n’engagerait la négociation qu’avec les seuls syndicats représentatifs.

LE DEVELOPPEMENT PERSONNEL CONTINU VU PAR LA MEDECINE GENERALE

Trente organisations de médecine générale dont les syndicats représentatifs (CSMF, SML et MG France) et les quatre sociétés savantes (le collège national des généralistes enseignants, la société française de médecine générale, la société de formation thérapeutique du généraliste, la société française de documentation et de recherche en médecine générale), ont rendu publique leur définition du développement professionnel continu (DPC) créé par la loi HPST. Pour elles, le DPC est « une démarche continue d’acquisition et d’approfondissement des compétences et d’amélioration des pratiques professionnelles individuelles et collectives allant de la formation médicale initiale à toute la vie professionnelle, et intégrée à la pratique ». Cette démarche vise à « la valorisation personnelle et professionnelle et contribue à l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins » et concerne « l’ensemble des champs de la pratique médicale et de l’organisation de la profession dans son contexte locale et dans le système de santé ».

Les organisations regroupées sous l’appellation « Vers un collège » de la médecine générale, feront connaître en octobre prochain leurs propositions relatives au contenu et au cadre organisationnel du DPC en médecine générale.

 FORFAIT HOSPITALIER : LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A TRANCHE, IL PASSERA A 18 EUROS

Le forfait hospitalier sera bien augmenté, mais de deux euros seulement. D’après le journal Les Échos, ce serait finalement le président de la République qui aurait tranché en ce sens. Le forfait hospitalier passera donc à 18 euros, cette hausse représentant environ 160 millions d’euros d’économies pour l’Assurance maladie.

Le président de la République a confirmé la nécessité de relever le forfait hospitalier lors de son interview télévisée de mercredi.

 ACCIDENTS DU TRAVAIL : LES INDEMNITES SERONT SOUMISES A L’IMPOT A PARTIR DE 2010

Les indemnités journalières versées par la Sécu aux salariés victimes d’accidents du travail seront fiscalisées à partir de 2010. Cette mesure annoncée par Jean-François Copé et confirmée par le Président de la République rapportera environ 150 millions d’euros.

 SECU : STABILITE DES DEPENSES DE SOINS DE VILLE SUR LES DOUZE DERNIERS MOIS

Le derniers chiffres publiés hier par la Caisse nationale d’assurance maladie montrent que les dépenses maladie du régime général de la Sécurité sociale ont augmenté de 3,9% sur les douze derniers mois (septembre 2008-août 2009) par rapport aux douze mois précédents. Ce rythme de progression s’était élevé à +3,8% le mois dernier, après +3,7% et +3,6% les deux mois précédents.

Dans ce contexte, les dépenses de soins de ville ont connu une progression quasi stable à +3%. L’assurance maladie souligne une légère accélération pour les remboursements d’honoraires médicaux et dentaires (+2,3% contre +2,1% à fin juillet).

Par ailleurs, la croissance des versements d’indemnités journalières s’infléchit légèrement avec un le taux de +6,3% à fin août, contre +6,8% le mois précédent. Il en est de même pour les dépenses de transports, +7,5% contre +7,8% les deux précédents mois.

Enfin, le ralentissement de la croissance des remboursements des produits de santé se poursuit (+1,4% contre +1,6%), du fait notamment de la moindre croissance des remboursements de dispositifs médicaux.
L’ONDAM des soins de ville fixé pour 2009 sera donc respecté. Ces résultats illustrent pour la CSMF, une fois encore la nécessité de réformer le financement de l’assurance maladie plutôt que de continuer à comprimer et à contraindre des dépenses désormais maîtrisées.

GRIPPE A/H1N1 :

  • GRIPPE A/H1N1 : LE PREMIER MINISTRE DETAILLE LE PLAN DE VACCINATION

Le premier ministre a détaillé hier le plan de vaccination contre la grippe A/H1N1, qui débutera à la mi-octobre par les personnels de santé. Il a appelé ces derniers, dont certains hésitent à se faire vacciner à faire preuve de “responsabilité”. « La vaccination n’est pas obligatoire mais je fais appel à la responsabilité de chacun”, notamment celle “des personnels de
Santé : nous avons besoin d’eux pour protéger l’ensemble des Français”, a-t-il indiqué.

Le premier ministre a repris avec quelques modifications les recommandations faites par le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) concernant la typologie des personnes prioritaires pour cette campagne qui sera “collective”, dans des lieux publics et pas chez le généraliste, sous l’autorité des préfets et des services de santé.

Selon une liste dressée par Matignon, “les personnels de santé de réanimation, néonatale et pédiatrique” seront vaccinés en priorité. Suivront les “personnels médical, paramédical et aide-soignant des établissements de santé, ainsi que les médecins et infirmiers” exposés à des patients grippés.

Les femmes enceintes arrivent ensuite, suivies de “l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois”, des professionnels chargés de l’accueil de la petite enfance, des nourrissons de 6-23 mois avec facteur de risque, des sujets de 2 à 64 ans avec facteur de risque.

Enfin, en bas de la liste figurent les personnes de plus de 65 ans avec facteur de risque, les 2-18 ans sans facteur de risque puis les personnes âgées de plus de 18 ans sans facteur de risque.
La CSMF met en ligne toutes les informations détaillées concernant cette campagne de vaccination sur son site www.csmf.org à la rubrique grippe A/H1N1

  • GRIPPE A/H1N1 : L’ORDRE DEMANDE AUX MEDECINS « DE SE FAIRE VACCINER»

Dans un communiqué publié mardi, le Conseil National de l’Ordre des Médecins demande aux médecins de se faire vacciner, d’inciter leurs patients à se faire vacciner, et les encourage vivement à être vaccinateurs.
Il rappelle que « la participation des médecins aux actions de santé publique est un devoir déontologique ». Il juge nécessaire « que les médecins se protègent contre le virus, afin d’éviter sa propagation dans leur entourage ».

L’Ordre rappelle également que le vaccin, sera mis en place « après l’aboutissement de la procédure d’autorisation de mise sur le marché rigoureuse ». « Les adjuvants présents dans le vaccin, qui permettent d’augmenter la réponse du système immunitaire du patient et rendent le vaccin plus efficace, ont été ajoutés selon la même technique que celle utilisée pour les autres vaccins tels que le vaccin contre la grippe saisonnière ou contre la rougeole ».

Lire le communiqué du CNOM

  • GRIPPE A/H1N1 : AVEC 265.000 CAS EN DEUX SEMAINES, L’EPIDEMIE EST CONFIRMEE

Avec 265.000 nouveaux cas en deux semaines, selon les estimations du réseau Sentinelles de l’Inserm, publiées mercredi, l’arrivée de l’épidémie de grippe clinique est confirmée en France métropolitaine. Selon les autorités, le nouveau virus pandémique H1N1 est majoritaire.

 LES INFIRMIERES SCOLAIRES VEULENT DELIVRER LA NOUVELLE PILULE DU LENDEMAIN

Le SNICS-FSU, demande l’autorisation, pour les infirmières scolaires de délivrer la nouvelle pilule “du lendemain”, EllaOne, qui peut être prescrite jusqu’à cinq jours après un rapport à risque, comme c’est déjà le cas pour une autre pilule du lendemain, le Norlévo” (utilisable jusqu’à 72 heures après un rapport à risque).

Le syndicat des infirmières scolaires s’appuie sur la loi que la loi « Hôpital Patient Santé Territoires » (HPST) permet à ces professionnels de santé de renouveler sous certaines conditions la contraception orale.

 LES INTERNES BOYCOTTENT LES DROITS D’INSCRIPTION

L’ISNIH a lancé une grève du paiement des droits d’inscription à l’université pour protester contre le faible taux d’encadrement des internes par des personnels hospitalo-universitaires durant leur formation.

L’ISNIH lance un appel à la ministre de l’Enseignement supérieur, pour apporter une réponse à cette crise. Selon l’ISNIH, les « capacités de formation sont saturées dans pratiquement toutes les villes pour des spécialités comme la chirurgie, l’anesthésie-réanimation, la gynécologie obstétrique. Le numerus clausus a été porté à 7 400 cette année.

Cela signifie qu’il faudra trouver près de 6 000 nouveaux terrains de stage d’ici 4 ans. Face à cette hausse du nombre d’internes, il faudra aussi augmenter le nombre d’enseignants par rapport à des référentiels sur le taux d’encadrement”.


Séminaires Pôle CSMF Formation :

 Formations FORMUNOF : www.formunof.org – Calendrier 2009

Contact : formunof@ll-conseil.fr – Tél. 01 43 41 04 54 – Fax 01 43 41 04 59

Cliquez sur le thème du séminaire pour consulter le programme et vous inscrire : http://www.formunof.org/SCRIPTSMB/inscriptions2.php

 Formations AFORSPE www.aforspe.fr – Séminaires ouverts aux généralistes

Contact : contact@aforspe.fr

Tél : 01 44 29 01 25

Intitulé Organisme Dates
Mieux connaître et prescrire une cure thermale FAF 20/11/2009 au 21/11/2009

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PARTENAIRES

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Actualité fiscale en partenariat avec l’AGAPS : www.agaps.com

Quel traitement comptable et fiscal devez vous donner au bonus et au malus sur l’acquisition de votre voiture ?

Si vous êtes propriétaire d’un véhicule non inscrit
à votre actif professionnel :
Si vous êtes propriétaire d’un véhicule inscrit
à votre actif professionnel
– Le bonus n’est pas imposable

 Le malus n’est pas déductible
– Le bonus est imposable
(une option pour un étalement est possible)

 Le malus est déductible

BONUS D’UN VÉHICULE INSCRIT À L’ACTIF

Le bonus
constitue une aide. Son régime comptable et fiscal est donc
différent de celui de l’acquisition du véhicule.

Sur le plan
comptable

u  Le
montant du bonus doit être porté en

"Divers
et autres recettes".

Le
prix de revient du véhicule doit être inscrit dans le compte
"Attente
d’immobilisation
"
pour son montant hors bonus

  • L’amortissement
    est calculé
    sur le prix de revient du véhicule

Sur le plan
fiscal : imposition du bonus

Le bonus
s’analyse comme une recette
imposable
l’année de leur perception
.
En cas d’utilisation mixte (privée/professionnelle), seule la part
professionnelle est imposable. S’agissant d’une "subvention",
il est possible d’opter pour un étalement de l’imposition
proportionnellement au montant des amortissements pratiqués sur le
véhicule. Dans ce cas, la
part
annuellement imposable est déterminée comme suit :

 

En cas
d’option pour l’étalement de l’imposition du bonus

    Part
imposable = Bonus x % professionnel x 

Dotation
annuelle des amortissements
pratiqués sur le prix de revient
du véhicule

Prix de
revient


Sur la
déclaration n° 2035, le malus est à indiquer sur la ligne
"gains
divers"

MALUS D’UN VÉHICULE INSCRIT À L’ACTIF

Le malus
constitue une taxe. Son régime fiscal est donc différent de celui
de l’acquisition du véhicule.

Sur le plan
comptable

u  Le
montant du malus doit être porté en

"Autres impôts".

Le prix de
revient du véhicule doit être inscrit dans le compte

"Attente
d’immobilisation"

pour son montant
hors malus.

  • L’amortissement
    est calculé sur le
    prix de revient du véhicule

Sur le plan
fiscal : déductibilité du malus

La taxe et donc,
le malus, s’analyse comme une charge déductible l’année de son
paiement. En cas d’utilisation mixte (privée/professionnelle) seule
la part professionnelle est imposable.

Sur la
déclaration n° 2035, le malus est à indiquer sur la ligne
"Autres
impôts"

Acquisition d’un véhicule : Sort fiscal des BONUS et Malus écologiques

Un dispositif BONUS et MALUS dit “écopastille” pour les voitures les plus polluantes s’applique aux voitures particulières neuves, acquises depuis le 1er janvier 2008. Le bonus ou le malus se traduisent par une baisse ou une augmentation du prix d’achat du véhicule. Seuls sont concernés par ce dispositif les véhicules de tourisme.


L’ACMF (Automobile-Club Médical de France) répond toujours présent !

Nous sommes sur informés, submergés par la paperasserie, voire surmenés…

Pour vous aider à trouver des solutions rapides et résoudre plus facilement les problèmes de la vie quotidienne, le Comité de l’Automobile-Club Médical de France (ACMF) a décidé de promouvoir trois nouveaux services en 2009 :

  • Dépannage et Assistance Médicale : Service Orientation Assistance

Nous sommes aujourd’hui tellement multi-assistés qu’en cas de problème on ne sait plus à qui s’adresser pour trouver une réponse parfaitement adaptée.

Désormais, en appelant le Service Orientation Assistance de l’ACMF, un Conseiller vous aidera immédiatement à y voir clair afin de déclencher l’assistance la plus appropriée et la plus efficace face à votre difficulté : accident matériel ou corporel, panne…

  • Recherche de personnel de confiance :

Cours particuliers, aides aux personnes âgées, tâches ménagères, assistance informatique, travaux domestiques : nous souhaiterions être aidé, mais où trouver quelqu’un de confiance ?

L’ACMF vous donne maintenant accès à un service gratuit de recherche et de mise en relation avec des professionnels sélectionnés et recommandés, à travers un réseau national.

  • Récupération de points du permis de conduire :

Un automobiliste français sur trois a perdu des points ! Les professionnels de santé qui roulent beaucoup y sont exposés.

L’ACMF permet à ses sociétaires fidèles de récupérer 4 points en suivant gratuitement un stage dans toute la France.

Ces nouveaux services viennent compléter une gamme déjà plébiscitée par 23 000 sociétaires :

  • Dépannage/remorquage gratuit 24h/24h pour tous les véhicules immatriculés à votre nom ou à celui de votre conjoint, 365 jours par an, même devant chez vous
  • Défense juridique gratuite, au civil comme au pénal
  • Assistance médicale, en France et dans le Monde entier, pour vous et tous les membres de votre famille
  • Hotline permanente pour vos tracas de tous les jours (démarches administratives, besoins de conseils, recherche d’infos…)
  • Centrale d’achat pour acheter mieux et moins cher

Au 1er janvier 2009, les sociétaires de l’ACMF bénéficient désormais des services exceptionnels d’EUROP ASSISTANCE, « l’assisteur n° 1 dans le cœur des français ».

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Pour contacter l’ACMF, obtenir des renseignements, un bulletin d’adhésion (précisez « de la part de l’UNOF ») :

TEL : 01 47 04 31 30

FAX : 01 47 04 01 64

E-Mail : info@acmf.asso.fr ou cliquez ici : www.acmf.asso.fr


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